Les sayanim (aides, assistants en hébreu) sont des Juifs de la diaspora au service d’Israël. On les assimile donc à des agents au service du Mossad (service de renseignements d'Israel).
Par patriotisme, ils serviraient les intérêts de l’Etat d’Israël dans tous les domaines . Ils séraient actifs dans les domaines de l’espionnage et de la désinformation, la manipulation et la propagande.
Les sayanim se trouveraient dans toutes les couches de la société. Dans les media , leur influence serait puissante. Un exemple ancien : le caporal Gilad Shalit, un soldat détenu dans la bande de Gaza, dont le nom et le portrait ont été diffusés en Europe et en Amérique du Nord. Les parents du caporal Gilad Shalit ont été reçus à plusieurs reprises par les dirigeants occidentaux. C’est une organisation efficace qui nécessite des moyens financiers et diplomatiques importants, qui a fait cela. Une famille modeste n'aurait pas pu mobiliser tous ces vecteurs ; surtout pour un soldat d’occupation.
Le Mossad s’appuyerait sur l’organisation franc-maçonne juive Bnei Brith de 500 000 membres pour recruter les sayanim prêts à soutenir "aveuglément" l’Etat d’Israël.
Jusqu’en 1948, les thèses sionistes étaient peu répandues parmi les Juifs. Elles se sont enracinées en prenant appui sur le conditionnement et la peur. Peur de nouveaux génocides et de massacres à l’encontre des Juifs. Les Juifs sont victimes de véritables lavages de cerveaux qui tendent à les maintenir dans l’insécurité et ce faisant, à les lier à Israël et sa politique.
Il y aurait 5000 sayanim en France. Mais on en parle très peu . Les journalistes qui détiennent des postes clé suivraient l’ordre établi et ne le bousculeraient pas. Ceux qui s’en éloignent seraient licenciés. Enfin toute critique négative , pour être anéantie, est qualifiée d’antisémite. Procédé efficace.
sources : Victor Ostrovsky , ancien agent des services secrets israéliens , mediapart , wikipedia, "le Printemps des Sayanim " de Jacob Cohen
"nt des juifs de la diaspora qui, par patriotisme, collaborent avec le Mossad dans le domaine de ou de la désinformation.
Ce mot désigne un juif qui aime Israël, et qui, par patriotisme, collabore avec le Mossad, dans deux domaines notamment : soit dans le domaine de l’espionnage, soit dans des activités de désinformation, manipulation, propagande.
Les sayanim sont des personnes qui sont réparties dans toutes les couches et classes sociales de la société.
Le gouvernement, le parlement, l’économie, les médias, et même, en fait, toutes sortes d’autres métiers.
Prenons par exemple le cas d’un agent du Mossad qui a besoin d’une planque : un garagiste peut offrir un abri sûr.
Donc le Mossad cherche à pouvoir établir des relations avec toute une série de personnes différentes, susceptibles un jour ou l’autre de leur rendre un service.
Il faut reconnaître avant tout que si Israël est ce qu’il est aujourd’hui, c’est grâce à sa diaspora.
Jamais ce pays n’aurait pu être ce qu’il est aujourd’hui, en atteignant un tel niveau développement, sans qu’il n’y ait de soutien de toute la diaspora, ou plutôt de toutes ces communautés juives, un peu partout dans le monde.
Qu’on pense au soutien américain, français, par exemple : il y a clairement des soutiens qui vont dans ce sens.
Qu’on l’appelle complot, ou autrement, il y a quand même objectivement une communauté d’intérêts, avec des soutiens concrets, notamment des soutiens financiers, matériels.
Et si certains, sans chercher à nier les faits qui sont têtus, veulent simplement les dénigrer en appelant cela 'théorie du complot', nous en arrivons au procédé bien connu qui consiste à qualifier d’antisémite toute personne critiquant la politique israélienne"